Extraits de Presse , Gary Hoffman

Interview:

CD Elgar – Bloch (La Dolce Volta):

2018

Res Musica: « Son jeu profond et inspiré fait alterner accablement et irrésistible envolée épique. L’impact sur l’auditeur est du registre de la profession de foi que l’Orchestre philharmonique royal de Liège et son chef Christian Arming amplifient et rendent inoubliable. »

Süddeutsche Zeitung – Nov 9 – 2018

« Quiconque n’a pas écouté Gary Hoffman en concert, ne peut connaître toute la noblesse, l’étendue des couleurs, la sobre et percutante expressivité du violoncelle. Un jeu sublimé par son instrument, un Nicolo Amati de 1662. (…) Ce qui intéresse Gary Hoffman au plus profond de son être est la musique, jamais de se mettre en scène.  (…) Bloch : « Hoffman parvient avec beaucoup de noblesse à opposer à l’orchestre la sombre amertume et la colère impuissante du prédicateur sans être jamais excessif ni larmoyant. » (…) Elgar : « Sous l’archet de Gary Hoffman, la dernière œuvre instrumentale d’Elgar prend la forme d’un adieu mélancolique qui nous est adressé depuis un monde disparu. Il est enfin possible d’entendre que la douleur, la mélancolie et le deuil peuvent s’exprimer avec retenue et force, des contours et une articulation des plus claires. »

https://www.sueddeutsche.de/kultur/cd-gary-hoffman-1.4204564

Muzikzen

«  La qualité du soliste et celle du Liège Royal Philarmonic ainsi que leur symbiose, sans revendication d’ego de l’un ou de l’autre, font de leur interprétation de ces deux œuvres majeures pour le violoncelle une référence qui pourrait bien être incontournable. »

https://www.musikzen.fr/aux-sommets-du-violoncelle/5759

Brahms – CD (La Dolce Volta):

« Le mot qui vient l’esprit à l’écoute de ce superbe disque, c’est celui de générosité. Celle d’abord de partitions d’une humanité protéi-forme (tour à tour lyrique, pastorale ou allègre), avec cette perfection de l’écriture qui n’appartient qu’à Brahms et réu- nit deux sonates pourtant séparées par plus de vingt ans. Celle ensuite des interprètes : on ne vante plus les qualités ni de Gary Hoffmann ni de Claire Désert. Ces deux-là se connaissent parfaitement, partageant un même souci de la rondeur sonore sans jamais sacrifier l’expressivité. » (Cadences)

Sublime Bach Suites:

“Nowhere was there a more potent sense of pure introspection than Hoffman lent to Suite No. 1, every movement an internal dialogue at its most personal level.”

Washington Post – Cecilia Porter

« Cette musique de virtuose (Cassado) écrite par un virtuose trouve, en Gary Hoffman, un autre virtuose qui, quatorze minutes durant, fascine par une rondeur, une puissance, une solidité et une précision luxueuses. « 

Concertonet – Simon Corley

« Gary Hoffman est un mélange de générosité et de sobriété. Son archet est d’une légèreté arachnéenne et son écoute infaillible. »

Altamusica , Olivier Bernager

« The whole orchestra seemed elevated — lit up — by Hoffman’s focus and expressive honesty. So here’s my advice: Go see one of his remaining performances at the California, tonight or Sunday afternoon. »

Mercury News –Richard Scheinin